Nous rejoignons le gérant de l'hôtel à sept heure et montons dans son 4x4 vers le port, de là, nous attendons le bateau qui nous emmènera dans la profondeur de la jungle.
Une fois à bord nous rencontrons Pedro, très sympa qui prend le temps de nous montrer les singes dormant à la cime des arbres, les tortues au bord de l'eau et les dauphins roses ! Ils sautent tout autour de nous et nous apercevons leur grand nez sans pouvoir toutefois réussir une belle photo. C'est un véritable spectacle de les contempler et pendant quarante minutes, ils nous fournissent une occupation des plus réjouissantes. Cette catégorie de dauphins ne vit qu'en eau douce dans le lit des rivières de la forêt amazonienne entre autre. Nous arrivons au camp de base et rencontrons la femme de Pedro et sa fille de huit ans. Il y a déjà quatre jeunes touristes dans l'expédition, que des filles, belges : Flore, Laura, Odile et Mathilde.
On nous offre un petit déjeuner composé de bananes plantains bouillies et mixées avec du fromage.
Après avoir fait connaissance avec nos nouveaux compagnons et avec la cabane pour le soir, nous partons à pied avec Amada et Lucie, la mère et la fille pendant que le reste de la troupe avance doucement en bateau. Nous admirons des oiseaux du paradis, ces fleurs qui poussent sur les bananiers ainsi que de nombreux insectes et des toiles d'araignées à vous donner des frissons ! Avant de reprendre le bateau nous passons sous un nid immense, nous pensons qu'il s'agit d'un Jabiru d'Amérique, de la famille des cigognes, il mesure environs 1, 40 mètres et possède une poche extensible rouge à la base du coup, le mâle et la femelle sont dans leur nid et nous avons tout le loisir de les contempler !
Nous rejoignons ensuite le bateau et repartons sur le fleuve Ibarré. Il fait froid ce jour ci, nous enfilons des couches de vêtements les unes par dessus les autres. Nous nous arrêtons sur une berge et préparons les cannes à pêche en vue de se dégoter quelques piranhas pour le repas du midi. Hélas, nous n'aurons attrapé que deux ou trois petits poissons ridicules et il faudra surtout du riz pour calmer nos estomacs affamés qui auraient dû avaler plus de bouillie au petit déjeuner !
Après manger nous profitons d'un moment de détente pour essayer le canoë, nous partons à plusieurs avec nos cannes à pêche et cette fois avons plus de chance, chacun aura pu attrapé quelques beaux phénomènes aux dents pointues dignes d'un épisode du Marsupilami !
L'après midi passe assez vite, le temps ne s'améliore pas vraiment mais heureusement nous n'avons pas de pluie.
Nous faisons deux équipes pour aller voir une lagune accessible par un petit bras d'eau étroit et peu profond, plusieurs fois nous devons nous tenir aux branches des arbres pour faire passer la barque en prenant soin de ne pas poser les mains sur quelque chose d'insolite !
Nous pêchons encore de retour au camps de base et partons nous promener en canoë à contre courant, naturellement !
A six heures il fait nuit et nous avons intérêt à ingurgiter rapidement notre petit piranha si nous ne voulons pas manger des mottes de moustiques ! Après cela nous passons aux toilettes de la cabane du fond du jardin et nous mettons à l'abris dans nos moustiquaires, à six heures trente Pedro et sa famille nous souhaitent une bonne nuit, ils dorment tous les trois dans le bateau et à sept heures ils éteignent la lumière alimentée par un groupe électrogène. Nous ne parlons pas tard cette première soirée, nous sommes si usés de nous être levés tôt et d'avoir eu tant de choses à admirer et à vivre que nous nous endormons vers huit heures !
Après avoir fait connaissance avec nos nouveaux compagnons et avec la cabane pour le soir, nous partons à pied avec Amada et Lucie, la mère et la fille pendant que le reste de la troupe avance doucement en bateau. Nous admirons des oiseaux du paradis, ces fleurs qui poussent sur les bananiers ainsi que de nombreux insectes et des toiles d'araignées à vous donner des frissons ! Avant de reprendre le bateau nous passons sous un nid immense, nous pensons qu'il s'agit d'un Jabiru d'Amérique, de la famille des cigognes, il mesure environs 1, 40 mètres et possède une poche extensible rouge à la base du coup, le mâle et la femelle sont dans leur nid et nous avons tout le loisir de les contempler !
Nous rejoignons ensuite le bateau et repartons sur le fleuve Ibarré. Il fait froid ce jour ci, nous enfilons des couches de vêtements les unes par dessus les autres. Nous nous arrêtons sur une berge et préparons les cannes à pêche en vue de se dégoter quelques piranhas pour le repas du midi. Hélas, nous n'aurons attrapé que deux ou trois petits poissons ridicules et il faudra surtout du riz pour calmer nos estomacs affamés qui auraient dû avaler plus de bouillie au petit déjeuner !
Après manger nous profitons d'un moment de détente pour essayer le canoë, nous partons à plusieurs avec nos cannes à pêche et cette fois avons plus de chance, chacun aura pu attrapé quelques beaux phénomènes aux dents pointues dignes d'un épisode du Marsupilami !
L'après midi passe assez vite, le temps ne s'améliore pas vraiment mais heureusement nous n'avons pas de pluie.
Nous faisons deux équipes pour aller voir une lagune accessible par un petit bras d'eau étroit et peu profond, plusieurs fois nous devons nous tenir aux branches des arbres pour faire passer la barque en prenant soin de ne pas poser les mains sur quelque chose d'insolite !
Nous pêchons encore de retour au camps de base et partons nous promener en canoë à contre courant, naturellement !
A six heures il fait nuit et nous avons intérêt à ingurgiter rapidement notre petit piranha si nous ne voulons pas manger des mottes de moustiques ! Après cela nous passons aux toilettes de la cabane du fond du jardin et nous mettons à l'abris dans nos moustiquaires, à six heures trente Pedro et sa famille nous souhaitent une bonne nuit, ils dorment tous les trois dans le bateau et à sept heures ils éteignent la lumière alimentée par un groupe électrogène. Nous ne parlons pas tard cette première soirée, nous sommes si usés de nous être levés tôt et d'avoir eu tant de choses à admirer et à vivre que nous nous endormons vers huit heures !